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Expositions

Claude Picher

La Société d’histoire et de généalogie de Matane a le mandat de mettre en valeur et de rendre accessible au grand public la collection «  La couleur de la Gaspésie  » de Claude Picher qui appartient à la Ville de Matane.

Les tableaux de Claude Picher sont exposés dans les locaux de la Société d’histoire pour le public.

À propos de Claude Picher (1927-1998)

Claude Picher est né à Québec en 1927. Il commence à peindre à l’âge de sept ans. Très tôt, il fait preuve de talent et se fait remarquer. Il remporte plusieurs prix pour ses œuvres, et ce, dès l’âge de quatorze ans.

À dix-neuf ans, il fait une exposition solo au Palais Montcalm.

En 1945 et 1946, il étudie à l’École des beaux-arts de Québec. Il n’y reste pas longtemps car il se rebelle contre le conformisme pédagogique. Il se livre donc à des recherches personnelles à New York. Il obtient une bourse du gouvernement du Québec et une du gouvernement français qui lui permettent d’étudier en France. Il s’inscrit à l’École du Louvre et à l’École nationale supérieure des beaux-arts. Il poursuit ensuite ses études dans les principaux musées d’Europe.

De retour à Québec, Picher continue sa production artistique tout en entreprenant une carrière administrative. Il devient, entre autres, directeur des expositions au Musée du Québec de 1951 à 1958, représentant de la Galerie nationale du Canada, à Ottawa, de 1958 à 1961 et directeur adjoint du Musée du Québec en 1963 et 1964.

En 1973, Picher est élu membre de l’Académie royale des arts du Canada, distinction dont il était très fier et dont le sigle R.C.A., (Royal Canadian Academy of Arts), accompagne sa signature. Claude Picher a reçu plusieurs prix dont le prix Lescarbot, la médaille commémorative du 125ème anniversaire de la Confédération et le prix Mérite culturel gaspésien en 1992 en plus du prix du Duc d’Édimbourg en 1993.

Le peintre a obtenu plusieurs bourses pendant sa carrière dont trois bourses de la Fondation Elisabeth-Greenshields et deux bourses du Conseil des Arts du Canada.

Arrivé à Matane en 1971 pour enseigner au cégep, Picher se retire de l’enseignement après seulement quelques mois. Il s’installe alors sur une ferme de Saint-Léandre pour se consacrer exclusivement à la peinture. Claude Picher s’est donné pour mission de peindre la Gaspésie, un coin de pays qui n’a pas été assez peint, selon lui.

En 1991, Picher fait don de 50 tableaux à la Ville de Matane et promet d’en remettre 50 de plus, exploit qu’il réussit et dont les 100 toiles forment la collection La couleur de la Gaspésie actuellement gérée par la Société d’histoire et de généalogie de Matane. Le peintre veut ainsi laisser un héritage à sa terre d’adoption. « C’est mon testament à ma terre d’adoption, la Gaspésie. Elle m’a tout donné » déclare-t-il.

De plus, il veut intéresser les jeunes à la culture en leur donnant la chance de voir, dans leur milieu, les œuvres d’un peintre exposant dans le monde entier.
Il décède en 1998, à l’âge de 71 ans, des suites d’une longue maladie.

Collection Claude Picher

Résultats : 81 à 100 de 100
Huile sur toile 30×40 1995 Quelques maisons posées ici et là parsèment les champs recouverts de neige. Les lueurs du ciel crépusculaire donnent à la neige des reflets bleutés et orangés. Des masses sombres, symbolisant l’épaisse forêt de conifères, contrastent avec la chaude lumière du soleil déclinant et semblent encercler les bâtiments. Leur présence est presque menaçante. En effet, elles forment des masses indéfinies dans lesquelles on se perd. Les nombreuses lignes de force horizontales de l’oeuvre créent un effet d’apaisement, de calme et d’éternité. Le silence règne dans l’oeuvre, silence que l’on retrouve souvent dans les scènes d’hiver dans lesquelles la neige semble calfeutrer et étouffer les bruits ambiants. Tout est calme dans cette oeuvre. Même l’air y semble au repos.
#81 Maison dans la montagne
Huile sur toile 30×40 1995 Quelques maisons posées ici et là parsèment les champs recouverts de neige. Les lueurs du ciel crépusculaire donnent à la neige des reflets bleutés et orangés. Des masses s...
© Claude Picher
Huile sur toile 30×40 1995 Tableau composé de façon à mettre en valeur l’horizontalité. II représente un paysage d’hiver dans lequel on peut voir, au loin, le rocher Percé, montré ici comme une silhouette noire. A la même hauteur que le rocher s’étend la côte. Un ciel bleu parsemé de nuages et doré par le soleil couchant les surplombe. Le rocher, de même que la côte, sont pris dans une mer de neige. Une bande noire traverse le paysage. Puis, en premier plan, on peut voir une autre étendue blanche aux reflets bleutés.
#82 Percé et l’hiver
Huile sur toile 30×40 1995 Tableau composé de façon à mettre en valeur l’horizontalité. II représente un paysage d’hiver dans lequel on peut voir, au loin, le rocher Percé, montré ici comme une silho...
© Claude Picher
Huile sur toile 30×40 1995 Ce tableau présente une vue plongeante sur la pointe ouest des Appalaches sur laquelle on retrouve une végétation et une côte rocheuse rendues par des formes simplifiées. Les couleurs de la végétation sont encore verdoyantes mais on voit qu’elles se tournent lentement vers les couleurs de l’automne. La côte se détache sur un fleuve bleu, fleuve coupé par un ciel créé de deux bandes de lumière, l’une orangée et l’autre violacée.
#83 Pointe ouest des Appalaches parc Forillon
Huile sur toile 30×40 1995 Ce tableau présente une vue plongeante sur la pointe ouest des Appalaches sur laquelle on retrouve une végétation et une côte rocheuse rendues par des formes simplifiées. L...
© Claude Picher
Huile sur toile 30×40 1995 Ce tableau présente un coucher de soleil sur le fleuve Saint-Laurent. La lumière du chaud soleil crée des reflets violacés, orangés et brunâtres dans le ciel. Le fleuve, composé de deux bandes de couleur bleue, ne renvoie pas la lumière du soleil. Il existe un contraste entre l’uniformité et la monochromie du fleuve et les diverses formes colorées du ciel.
#84 Sunset over Matane
Huile sur toile 30×40 1995 Ce tableau présente un coucher de soleil sur le fleuve Saint-Laurent. La lumière du chaud soleil crée des reflets violacés, orangés et brunâtres dans le ciel. Le fleuve, co...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×30 1995 On aperçoit un morceau de l’Ile Bonaventure dans cette toile. Ce morceau est recouvert de verdure, de rochers, de terre et, bien sûr, de fous de Bassan. Les oiseaux occupent avant-plan et le deuxième plan. On en retrouve même volant, plus loin, et ceux-ci ne sont représentés que schématiquement, c’est-à-dire dans la forme d’un M étiré. Les couleurs, pour créer l’Ile, ont été appliquées par juxtaposition de différentes teintes. Le fleuve est visible dans la partie gauche de l’oeuvre et un ciel de deux couleurs, jaune et bleu, occupent l’arrière-plan.
#85 Les fous de Bassan de l’île Bonaventure
Huile sur toile 24×30 1995 On aperçoit un morceau de l’Ile Bonaventure dans cette toile. Ce morceau est recouvert de verdure, de rochers, de terre et, bien sûr, de fous de Bassan. Les oiseaux occupen...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×36 1995 Plusieurs éléments sont disposés horizontalement dans cette oeuvre: les strates de terrain, le rivage, le fleuve, la rangée de bâtiments, la ligne d’horizon et les bandes du ciel. Les arbres, le phare, un rocher et les maisons viennent couper ce rythme horizontal par leur verticalité. L’ensemble de la toile est peint en couleurs claires, ce qui donne une impression de beau temps, de légèreté, de joie de vivre.
#86 Le phare de Métis
Huile sur toile 24×36 1995 Plusieurs éléments sont disposés horizontalement dans cette oeuvre: les strates de terrain, le rivage, le fleuve, la rangée de bâtiments, la ligne d’horizon et les bandes d...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×30 1995 L’église St-George de la Malbaie trône au centre de la toile. Derrière elle s’étend un ciel dont la partie du haut est d’un bleu uniforme mais dont la base est largement colorée de diverses couleurs claires et douces. Sous ce ciel, on aperçoit le fleuve. On n’en voit cependant pas les rives car celles-ci sont cachées par des arbres noirs. Dans le ciel vole un ange dont le drapé flotte autour de lui.
#87 Église Saint-Georges-de-Malbaie
Huile sur toile 24×30 1995 L’église St-George de la Malbaie trône au centre de la toile. Derrière elle s’étend un ciel dont la partie du haut est d’un bleu uniforme mais dont la base est largement co...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×30 1995 Comme bien des toiles, celle-ci se compose suivant un plan déterminé: au premier plan, une étendue quelconque, soit eau ou champs. Ensuite vient un village et enfin, le ciel. Ici, le premier plan se compose d’eau, mais d’eau à moitié gelée et dont les blocs de glace sont constitués par les aplats de couleur blanche, tandis que l’eau elle-même est peinte en bleu. Le village que l’on voit trouve son point culminant dans l’église dont le corps se fond avec les montagnes bleues de l’arrière-plan. Le ciel est turquoise et il est parsemé de quelques carrés blancs représentant les nuages. Il est intéressant de noter qu’à l’origine, Picher avait peint les « nuages » en rose. On peut en voir la trace en regardant l’oeuvre de près. On découvre aussi que d’autres formes devaient être peintes dans l’intervalle entre les deux groupes de « nuages « . Ces rectangles auraient passé derrière le clocher.
#88 Village de Bonaventure
Huile sur toile 24×30 1995 Comme bien des toiles, celle-ci se compose suivant un plan déterminé: au premier plan, une étendue quelconque, soit eau ou champs. Ensuite vient un village et enfin, le cie...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×30 1995 Du haut d’une montagne, le spectateur de cette oeuvre aperçoit le fleuve. Celui-ci s’emboîte presque dans le ciel peint d’un bleu semblable à celui du fleuve. Au milieu de la masse bleutée du ciel, une plage de lumière, blanche, éclatante. Le premier plan de l’oeuvre montre une terre sur laquelle la neige accumulée pendant l’hiver a commencé à fondre. Cette neige sale laisse la place à la terre humide et à l’herbe jaunie. Des masses d’arbres noirs agissent comme repoussoir et ainsi, ajoutent de la profondeur à l’oeuvre. Plus loin derrière, on aperçoit une montagne grisâtre.
#89 Éclaircie à Percé
Huile sur toile 24×30 1995 Du haut d’une montagne, le spectateur de cette oeuvre aperçoit le fleuve. Celui-ci s’emboîte presque dans le ciel peint d’un bleu semblable à celui du fleuve. Au milieu de...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×30 1995 Le ciel occupe presque toute la surface de l’oeuvre. Outre ce dernier, prend place au premier plan un cours d’eau, bleu, sur lequel on aperçoit la silhouette, violacée, de collines. Juste au-dessus de ces collines, un soleil orangé s’apprête à disparaître. Mais n’ayons crainte car nous savons bien que le soleil reviendra toujours. La disparition prochaine de l’astre solaire amène des feux colorés dans le ciel. En effet, le ciel, violet, est traversé de formes colorées. Est-ce une fois de plus la matérialisation des particules de lumière dans l’air ou est-ce une fantaisie picturale que s’est permise le peintre?
#90 Le soleil reviendra toujours
Huile sur toile 24×30 1995 Le ciel occupe presque toute la surface de l’oeuvre. Outre ce dernier, prend place au premier plan un cours d’eau, bleu, sur lequel on aperçoit la silhouette, violacée, de...
© Claude Piché
Huile sur toile 24×30 1995 En avant-plan, on peut voir un champ de neige coupé seulement par les poteaux d’une clôture et par l’ombre des bâtiments. Viennent ensuite les quelques bâtiments d’un village, dont une église, bâtiments cernés par quelques sapins. Enfin, on découvre le ciel. Ce ciel se compose comme un déploiement, dans la partie de droite, de formes rectangulaires. Dans le coin gauche, la peinture est appliquée comme une large plage verdâtre surmontée de quelques formes grises qui se suivent tout en se touchant, formant ainsi une sorte de ruban. L’immobilité et le silence du champ de neige contrastent avec le mouvement et la cacophonie contenus dans le ciel.
#91 L’Église endormie
Huile sur toile 24×30 1995 En avant-plan, on peut voir un champ de neige coupé seulement par les poteaux d’une clôture et par l’ombre des bâtiments. Viennent ensuite les quelques bâtiments d’un villa...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×30 1995 La lune, comme l’indique le titre, est l’élément principal de cette oeuvre. On la voit, immense et pleine, trônant par-dessus un village et ce qui semble être un cours d’eau gelée ou encore un champ recouvert de neige. Autour de la lune, un rayonnement fait de carrés verts rejoint la masse sombre du ciel. On peut ici voir illustrée une des théories de la couleur: le jaune de la lune, se mélangeant avec le bleu du ciel, donne le vert du rayonnement. C’est comme si le bleu et le jaune transparaissaient l’un dans l’autre pour créer le vert, imitant ainsi ce que peut donner un rayonnement, c’est-à-dire une propagation de l’énergie ou de radiations émises par un corps.
#92 La lune donne la plus belle lumière
Huile sur toile 24×30 1995 La lune, comme l’indique le titre, est l’élément principal de cette oeuvre. On la voit, immense et pleine, trônant par-dessus un village et ce qui semble être un cours d’ea...
© Claude Picher
Huile sur toile 24×30 1995 Deux personnages marchent sur la neige, neige bleutée par le déclin de la lumière du jour. Celle-ci est apparente seulement sur la masse d’eau dans la direction de laquelle se dirigent les promeneurs et sur un coin du ciel, derrière une montagne bleue. Celle-ci se couche sur une montagne brune et le ciel qui les surplombe, en plus d’être jaune, prend des teintes orangées, brunâtres et bleu pâle. Tout autour des personnages se dressent des bâtiments. Ceux-ci sont sombres et sembleraient menaçants si ce n’était de la chaude lumière que l’on peut apercevoir à travers les carreaux des fenêtres.
#93 Promenade du soir en Gaspésie
Huile sur toile 24×30 1995 Deux personnages marchent sur la neige, neige bleutée par le déclin de la lumière du jour. Celle-ci est apparente seulement sur la masse d’eau dans la direction de laquelle...
© Claude Picher
Huile sur toile 5×7 1995 Cette toile est la plus petite que l’on retrouve dans la collection. On peut y découvrir un village de quelques bâtiments, enveloppés dans la neige et parmi lesquels on découvre une église. Ce village se trouve sur une colline qui semble surplomber un lac. Les couleurs sont à dominance bleu. L’artiste y a inclus des éléments orangés, ce qui crée un contraste avec le bleu (couleurs complémentaires).
#94 Solitude en Gaspésie
Huile sur toile 5×7 1995 Cette toile est la plus petite que l’on retrouve dans la collection. On peut y découvrir un village de quelques bâtiments, enveloppés dans la neige et parmi lesquels on décou...
© Claude Picher
Huile sur toile 8×10 1995 Oeuvre à dominance bleue, elle se compose majoritairement de lignes horizontales. Ces lignes se retrouvent dans les plans de neige et de glace et le plan d’eau. La courbe de la montagne brise l’horizontalité et les sapins noirs accentuent ce bris par leur verticalité.
#95 La montagne bleue
Huile sur toile 8×10 1995 Oeuvre à dominance bleue, elle se compose majoritairement de lignes horizontales. Ces lignes se retrouvent dans les plans de neige et de glace et le plan d’eau. La courbe de...
© Claude Picher
Huile sur toile 8×10 1995 Le village présenté ici évoque celui que l’on retrouve dans Solitude en Gaspésie (#94). Cette oeuvre se compose de quatre plans horizontaux (neige au premier plan, champs près desquels le village se situe, plan d’eau et ciel). Ces plans sont reliés entre eux par des lignes diagonales créées par certains éléments (arbres et montagnes). Il est intéressant de noter que dans ce paysage automnal, on retrouve de la neige, ce qui indique que le point de vue du spectateur se retrouve en altitude.
#96 Automne
Huile sur toile 8×10 1995 Le village présenté ici évoque celui que l’on retrouve dans Solitude en Gaspésie (#94). Cette oeuvre se compose de quatre plans horizontaux (neige au premier plan, champs pr...
© Claude Picher
Huile sur toile 6×8 1995 Un mouvement est créé à partir des lignes de force. Ces lignes peintes dans le champ amènent le regard du spectateur sur les bâtiments. Ensuite, il y a une transition faite par les arbres. Puis, le mouvement devient ascensionnel bien qu’incliné et nous conduit en haut de la montagne. On pénètre alors les nuages, le blanc pur, le non-lieu… On est ensuite attiré vers les grandes traces du ciel qui nous emporte au coin supérieur gauche de la toile. La montagne noire (et neutre) se place comme une zone de transition entre les couleurs chaudes et les couleurs froides.
#97 Sans titre
Huile sur toile 6×8 1995 Un mouvement est créé à partir des lignes de force. Ces lignes peintes dans le champ amènent le regard du spectateur sur les bâtiments. Ensuite, il y a une transition faite p...
© Claude Picher
Huile sur toile 12×16 1995 Cette toile, une des deux natures mortes de la collection, montre des géraniums rouges dans un pot. Ces formes peintes en de chaudes couleurs se détachent sur un fond bleu pâle, froid. La table sur laquelle repose le pot est faite à gros traits de pinceau de diverses teintes de gris. Picher, dans cette oeuvre, donne une solidité nouvelle aux fleurs et aux feuilles.
#98 Géraniums
Huile sur toile 12×16 1995 Cette toile, une des deux natures mortes de la collection, montre des géraniums rouges dans un pot. Ces formes peintes en de chaudes couleurs se détachent sur un fond bleu...
© Claude Picher
Huile sur toile 12×16 1995 Au premier plan de l’oeuvre se trouvent quelques bâtiments. Un chemin sinueux nous amène plus bas à travers les monts couverts de neige. A l’arrière-plan de l’oeuvre, on retrouve des montagnes aux formes rondes dont le rythme est brisé par les faîtes des sapins. Le ciel changeant de couleur et l’ombre bleutée sur la neige indiquent que le soleil va bientôt se coucher.
#99 Village du nord de la Gaspésie
Huile sur toile 12×16 1995 Au premier plan de l’oeuvre se trouvent quelques bâtiments. Un chemin sinueux nous amène plus bas à travers les monts couverts de neige. A l’arrière-plan de l’oeuvre, on re...
© Claude Picher
Huile sur toile 14×18 1995 Cette scène maritime est peinte dans les couleurs dominantes de vert et d’orangé. On peut y voir des bateaux qui semblent être sur l’eau plutôt que de flotter dedans. La solidification de l’eau lui enlève sa transparence et permet de voir les reflets de lumière se détacher sur la surface. Ici, la toile est organisée en perspective: le cours d’eau s’en va en se rétrécissant. De plus, les bateaux et les bâtiments sont placés de façon à accentuer cet effet de perspective. Une ligne de terre sur laquelle repose des maisons ferme l’horizon.
#100 Petit port de la Gaspésie
Huile sur toile 14×18 1995 Cette scène maritime est peinte dans les couleurs dominantes de vert et d’orangé. On peut y voir des bateaux qui semblent être sur l’eau plutôt que de flotter dedans. La s...
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