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Collection Claude Picher

La collection « La couleur de la Gaspésie » de Claude Picher comprend 100 oeuvres réalisées entre 1990 et 1995.

Huile sur toile 30×40 1990  Cette toile présente un soleil rayonnant par-dessus des montagnes. Ce soleil orange produit un rayonnement très coloré, dans la gamme des rouges, roses et oranges, rayonnement fait d’empâtements orientés de façon à créer un mouvement de rotation. Sous lui se postent des montagnes, l’une bleu-ciel, l’une bleu profond et l’une verte. Celle-ci est découpée d’aplat de couleurs diverses, allant de l’ivoire au vert fonce en passant par le rose tendre.  Des sapins sont placés de façon à créer un effet de profondeur. Ils sont habilement peints: le peintre a ajouté de rapides traits verts sur la noire silhouette des arbres.  Un espace carrelé de différentes couleurs s’étend devant les arbres, espace suivi par des plans de champs. Pour obtenir ces derniers, le peintre a peint par empâtements Iinéaires.
#01 Soleil d’automne, Gaspésie
Huile sur toile, 36 x 48, 1990.  Le village de Grande-Vallée s’étend sur la côte bordant le fleuve. En premier plan, faisant face à l’église, on retrouve le cimetière.  Les bâtiments du village sont plus ou moins dispersés sur la côte. Les champs entourant le village sont plutôt jaunis tandis que ceux que l’on retrouve à l’arrière du village sont verdoyants.  L’arrière-plan de ce tableau se compose du fleuve et d’une infime part de ciel bleu.
#02 Grande-Vallée, Gaspésie (cette oeuvre est actuellement louée par la Ville de Matane)
Huile sur toile, 30 x 40, 1990.  Cette toile présente une volée d’oies blanches qui font un arrêt dans un champ de blé. Certaines se reposent tandis que d’autres se nourrissent. Quelques unes d’entre elles sont en train de voler.  Le peintre les a représentées plus grandes que les autres, plus près du spectateur pour amener ce dernier à y fixer son attention.  Ce tableau est construit selon le mode horizontal: les rangées d’oies, les montagnes au loin, les divers champs superposés. Les seuls éléments verticaux de l’oeuvre sont les poteaux de clôture et l’arbre.
#03 Les grandes oies blanches (Cette oeuvre est actuellement louée par la Ville de Matane)
Huile sur toile 20×24 1990  Le premier plan de l’oeuvre est horizontal et composé de formes plus on moins carrées. Bien que le format horizontal tende à l’immobilité, les formes découpées dans l’eau créent un effet de mouvement, du au fait que ces formes sont décalées les unes par rapport aux autres.  Sur ce plan d’eau se couche la rive sur laquelle reposent quelques bâtiments et des groupes d’arbres qui se reflètent dans l’eau. Un plan de colline monte vers la droite tandis qu’à l’arrière on découvre la montagne parsemée de formes qui, ici encore, créent un mouvement.  Sur cette montagne brille un soleil blanc et le ciel est fait de carrés qui suivent la forme sinueuse de la montagne.  Le tout est composé dans les teintes de vert, de jaune et de bleu. A ces couleurs s’ajoutent le rouge et le mauve pour les toits des maisons.
#04 La rivière Matane
Huile sur toile 24×36 1990  Le village fantôme dont fait mention le titre occupe une place minime sur la toile.  Il se compose de quelques bâtiments qui sont tout petits par rapport aux gigantesques montagnes qui prennent possession de la majeure partie de l’oeuvre. Ces montagnes sont créées par une superposition de stries de couleurs bleue, noire, grise ou brunâtre.  Au pied de ces montagnes, on découvre la lisse surface d’un plan d’eau et en arrière-plan, le ciel composé d’un dégradé de couleurs apposées par bandes horizontales.
#05 Village fantôme
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#06 Madeleine en Gaspésie
Huile sur toile 36×48 1990  Cette oeuvre présente deux orignaux venus s’abreuver à un point d’eau.  La toile se compose de bandes horizontales. Celle du premier plan, d’un bleu outremer, se juxtapose à une deuxième bande d’un bleu plus clair. Une rangée de rochers sépare le cours d’eau d’un champ créé par l’alternance d’herbage et de végétation de différentes couleurs. Se dressant telle une forteresse, une muraille d’arbres sépare les champs des montagnes.  Certains sapins, à droite de l’oeuvre, véritables cônes verts, se détachent sur la masse d’arbres noirs au faîte aigu. Dans la partie gauche, les sapins, non plus coniques, sont plutôt formés par une série de pointes se dressant vers l’extérieur. Derrière ce rideau d’arbres se dresse une montagne. Des bandes verticales de couleurs différentes la compose. Ces bandes ne créent pas l’effet perspectif habituel mais semblent plutôt s’élancer tout droit vers le ciel.  Derrière eux, la montagne prend des allures plus réalistes dans la partie peinte d’un vert près du kaki. La montagne se ponctue de petits sapins noirs.  Enfin, pour ceindre cette montagne, un ruban de sapins, créé par une multitude de pointes noires, la détache des trois autres montagnes peintes de trois teintes différentes de bleu. Ces montagnes sont de formes arrondies, courbes et deux d’entre elles viennent reprendre les couleurs du cours d’eau du premier plan. Un soleil orangé, se détachant du ciel mauve, éclaire les orignaux qui se retrouvent sculptés par la lumière. Certaines couleurs de leur pelage trouvent un écho dans les teintes du paysage.  Les deux bandes bleues des points d’eau, posées horizontalement, de même que la bande d’horizon du champ, amènent un sentiment d’infini, de continuité.  Le pelage des animaux prend forme grâce à une série de lignes qui crée la rondeur de la croupe. Les hachures du pelage rappellent celles que l’on retrouve dans l’herbe.  L’orignal vu de profil présente certaines irrégularités pour ce qui a trait à ses pattes avant.  Premièrement, elles ne semblent pas être dans l’eau mais plutôt sur les pierres en bordure de l’eau. De plus, elles sont étrangement collées l’une sur l’autre. Les formes des bois de l’orignal évoque celles de l’un des arbres ayant perdu ses feuilles et qui se trouve devant le rideau d’arbres.
#07 Les orignaux du Parc de la Gaspésie (Cette oeuvre est actuellement louée par Raymond Chabot Grant Thornton de Matane)
Huile sur toile 30×40 1990  Cette oeuvre présente une partie de la côte gaspésienne qui voisine le fleuve. Ce dernier, rendu par une série de rectangles juxtaposés et de couleurs en dégradé, se découpe sur un ciel peint dans les mêmes teintes de bleu mais dont les rectangles sont beaucoup plus marqués et dont certains ne se fondent pas les uns dans les autres. C’est le cas de ces rectangles blancs, symbolisant les nuages du ciel mais dont l’essence a été réduite à une forme géométrique.  Picher a traduit en formes géométriques ce qu’il voyait. Ou encore il a rendu matériel l’air ambiant, le solidifiant, lui donnant une forme.  Surplombant le fleuve, une montagne, couverte d’une herbe jaunie et parsemée de quelques sapins et d’arbres ayant perdu leurs feuilles, prend sa place dans l’espace. On sent bien le volume, la masse de cette montagne qui amène un élément solide dans l’oeuvre. Sans elle, les éléments du tableau se réduiraient à de l’air et à de l’eau. Sur cette montagne, on retrouve une masse noire dans laquelle il serait tentant de s’infiltrer, de se perdre.  Au bas du tableau, une parcelle de maison indique une présence humaine. Cette dernière vient atténuer l’impression de paysage sauvage, de paysage inaccessible à l’homme.
#08 Grosses-Roches, Gaspésie (cette oeuvre est actuellement louée par la Ville de Matane)
Huile sur toile 36×48 1990  En premier plan de cette oeuvre, on découvre un groupe de pêcheurs parmi lesquels trois d’entre eux sont réunis autour d’une table et s’emploient à nettoyer le produit de leur pêche. Ils prennent place sur le sol sablonneux qui reflète la chaude lumière du soleil.  Derrière les pêcheurs se situe un plan d’eau, plan d’eau coupé par une bande de rochers sur lesquels viennent se fracasser les eaux. Des oiseaux stylisés et dont la forme est rendue dans son expression minimale volent au-dessus du fleuve. Enfin, le tout se détache sur un ciel orangé.  Le tableau est construit en suivant l’orientation horizontale typique au paysage. Seuls les personnages constituent les éléments verticaux de l’oeuvre.
#09 Pêcheurs de morues à Les Méchins (cette oeuvre est actuellement louée par la Ville de Matane)
Huile sur toile 20×24 1990  Tableau à dominance verte. Les eaux du premier plan semblent marécageuses. Ces eaux sont formées par une série de rectangles verts. Ces rectangles sont plus clairs au bord de la toile et deviennent plus sombres à mesure que le regard du spectateur pénètre dans le tableau. Cela crée un effet de profondeur.  Derrière l’étendue d’eau se tiennent des montagnes noires. On peut voir les coups de spatule qui forment ces montagnes. Un peu plus loin, on découvre des montagnes bleues, lesquelles sont couronnées par un ciel vert dans lequel quelques carrés sont jaunes. La proximité de ces carrés jaunes avec les montagnes bleues nous rappelle que le jaune mélangé au bleu donne le vert. Ces formes jaunes constituent un éclairci dans le ciel.
#10 Aurores boréales
Huile sur toile 30×40 1990  Cette scène, croquée l’automne, sert de prétexte à Picher pour faire des expérimentations de textures, des effets de matière.  Dans la partie gauche de l’oeuvre, on retrouve un feuillage aux multiples couleurs, peint avec fougue à la spatule. La montagne qui se profile à l’arrière sur toute la largeur de la toile est créée sensiblement de la même façon, sauf que les amas de couleurs sont plus grands et, de façon générale, de couleurs plus sombres. Une eau calme, aux bleus profonds, rejoint le devant de la toile. Sur elle se découpe un arbre au feuillage orange, arbre peint à la spatule et sur lequel on retrouve les traces du travail du peintre.  Un peu plus loin sur la rivière, on aperçoit le pont, sujet de l’oeuvre. Ce dernier est créé par une série de bandes grises alternées d’un large trait noir. Le tout est chapeauté d’un toit vert pâle. On voit bien ici le talent du peintre qui sait réduire les formes à l’essentiel pour rendre un objet.  Sur la même ligne que le pont, on peut voir quelques bâtiments et une étendue de champs. Enfin, pour couronner l’oeuvre, un ciel turquoise parsemé de nuages blancs aux formes organiques.
#11 Le pont couvert de Saint-René
Huile sur toile 24×36 1990  Comme l’indique si bien le titre de l’oeuvre, ce tableau représente un ciel enflammé de multiples couleurs.  Rayonnant autour d’un soleil orangé, des plages de couleurs roses, rouges, magenta, bourgognes, mauves, violets, bleus et orangés s’étalent, d’abord autour du soleil puis se propagent dans le ciel en larges bandes rectangulaires. Sous ce ciel coloré, une forêt de conifères et de feuillus colorés par la venue de l’automne sert de zone de transition entre le mouvement du ciel et le calme du sol, sol réalisé à l’aide d’une juxtaposition de bandes horizontales de différentes teintes de vert. Sur l’une d’elle, on retrouve une grange, seule marque de la présence humaine.  Cette grange paraît minuscule à côté des éléments qui la côtoient. Cette petitesse symbolise peut-être la faiblesse de l’homme devant les forces de la nature ou encore devant la volonté de Dieu.
#12 Le Ciel enflammé
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Claude PicherClaude Picher (1927-1998) est un peintre canadien qui s’est donné pour mission de peindre la Gaspésie, un coin de pays qui n’a pas été assez peint, selon lui.

En 1991, monsieur Claude Picher fait don de 50 tableaux à la Ville de Matane et promet d’en remettre 50 de plus, exploit qu’il réussit et dont les 100 toiles forment la collection La couleur de la Gaspésie. Le peintre veut ainsi laisser un héritage à sa terre d’adoption. « C’est mon testament à ma terre d’adoption, la Gaspésie. Elle m’a tout donné » déclare-t-il.

La Société d’histoire et de généalogie de Matane est responsable de la gestion de la collection de Claude Picher qui appartient à la Ville de Matane.

En savoir plus sur Claude Picher

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