98e revue de la SHGM – Décembre 2014
La Société d’histoire et de généalogie de Matane annonce la parution du 98e numéro de sa revue Au pays de Matane
Matane, le 12 décembre 2014. — La Société d’histoire et de généalogie de Matane annonce la parution du 98e numéro de sa revue Au pays de Matane.
Cette édition contient six textes, chacun d’un grand intérêt. Tout d’abord, monsieur Max Fillion nous explique comment s’est réalisée la rénovation du manège militaire de Matane à partir de la restauration de son horloge. Cette horloge marque le temps à Matane depuis cent ans.
Dans un autre article, notre collaboratrice, madame Danielle Harrison, nous démontre que Antoine Miville-Deschênes et Marguerite Harrison ont vraiment existé même s’il n’est pas facile de retrouver leurs traces dans les archives. À partir des actes de naissance et de mariage, elle parvient à cette conclusion qui va permettre à bien des chercheurs de ces familles de poursuivre leur arbre généalogique.
Le troisième article, signé par Guy Chrétien (Georges Guy) que l’on connaît pour ses nombreux écrits et pour son travail à CKBL et CBGA, nous amène à Saint-Octave-de-l’Avenir, où sa mère a tenu le 1er bureau de poste de ce village de colonisation. De 1943 à 1957, il en sera le commis. Il nous amène dans cet univers bien particulier de ces petits bureaux de poste.
Le quatrième article se veut le premier article d’une série présentant les belles maisons de Matane. Celle que nous présente madame Yvette Lapointe dans ce numéro est une maison de style anglo-normand aujourd’hui disparue. Elle était située sur la rue D’Amours et a été habitée successivement par Monsieur Patton, le docteur Côté et le docteur Langis. Comme elle est disparue au début des années 1960, elle est encore présente dans la mémoire de beaucoup de Matanais.
Le cinquième article est de la série En fouillant dans nos archives. Monsieur Georgy Bouffard nous propose l’étude d’un document plutôt particulier : une vente de congé et remerciement de l’armée en 1837. Vous serez à même de constater que nos ancêtres étaient ingénieux lorsqu’il s’agissait de récupérer une somme d’argent.
Enfin, le dernier article porte sur le déclin de l’industrie du bois à Matane au cours des années 1950. L’auteur, Rémi Lefrançois, un jeune finissant à la maîtrise en histoire de l’Université du Québec, partage avec nous une partie de ses recherches réalisées dans le cadre de son projet de mémoire.
Enfin, le lecteur retrouvera la riche section photographique La Matanie d’hier préparée par l’historien Georgy Bouffard.
Distribuée à plus de 400 exemplaires aux membres de la Société d’histoire et de généalogie de Matane, la revue Au pays de Matane est également disponible dès maintenant dans une dizaine de commerces de Matane et de la région de la Matanie.
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Pour informations additionnelles :Louis Audet, président de la SHGM (418 562-9766) Louis Blanchette, membre du Comité de la revue (418 733-1371)